Nous nous flattons, à juste titre, des actions désintéressées et bénéfiques que nous commettons à l’égard d’autrui mais serions-nous capables de les évaluer si nous n’avions pas, parfois, été responsables d’actes répréhensibles ?
Un regard décalé et humoristique sur les faits de Société.
Des conclusions que vous ne trouverez nulle part ailleurs.
Réflexions douces-amères
Nous nous flattons, à juste titre, des actions désintéressées et bénéfiques que nous commettons à l’égard d’autrui mais serions-nous capables de les évaluer si nous n’avions pas, parfois, été responsables d’actes répréhensibles ?
On vous dit :
Ce monsieur a conscience de sa valeur.
Comprenez :
Il est suffisant.
LES ODEURS
À part « être en odeur de sainteté » (mal définie) la plupart sont négatives, même lorsqu’elles font référence à un parfum agréable.
« Ne pas sentir la rose - ou la violette - » sous- entend une odeur plutôt désagréable s’appliquant à quelqu’un d’un peu négligent dans son hygiène corporelle.
Sentir le soufre s’oppose à l’odeur de sainteté et définit une personne éloignée de la pratique religieuse…
On vous dit :
Son haleine est parfumée.
Comprenez :
Il pue l’alcool !
Comme toujours, un grand nombre de déceptions, quelques rares succès, une petite quantité de ‘’places d’honneur’’ sans grande signification mais, tous les quatre ans, on en redemande…
On vous dit :
Ce monsieur s’emporte facilement
Comprenez :
C’est un fou furieux !
Non ! Je ne suis pas parti en vacances sans prévenir et en négligeant de répondre aux deux derniers commentaires.
J’étais, tout simplement, en panne d’accès à Internet.
Après de multiples réclamations, les visites successives de deux équipes de techniciens sans résultat et la promesse d’envoi d’un ’’expert’’ non suivie d’effet, une conseillère d’Orange m’a prescrit le changement de ma Livebox, ce que j’ai fait. Miracle ! La connexion est rétablie après trois semaines de panne…
Veuillez m’excuser pour ce silence involontaire.
Comme chaque année, nous avons fêté le 14 juillet, date symbolique de la conquête de la liberté par le peuple vainqueur de ses tyrans.
Nous voulons voir dans le ‘’Printemps arabe’’ une même victoire de la démocratie initiée par des populations opprimée par la tyrannie.
C’est aller un peu vite. On oublie facilement qu’après sa révolution, la France a subi deux rois et deux empereurs et qu’il lui a fallu encore cent seize ans pour s’affranchir de la dictature religieuse.
À part la Tunisie, les pays arabes qui se sont débarrassés de leurs despotes se sont placés, volontairement, sous la coupe des islamistes. La liberté attendra.
Souhaitons leur d’y accéder plus rapidement que ne le fit la France après 1789.
La Tunisie continuera peut-être à donner l’exemple ?
Entre 1945 et aujourd’hui, les progrès de la technologie ont multiplié par douze les rendements du travail.
Dans le même temps, la durée de ce dernier a été divisée par deux.
À qui profite la différence ? Sûrement pas aux travailleurs qui, après une période - quelques décennies- de lente amélioration de leur condition, due à un combat incessant, en sont réduits, depuis quelques années, à essayer de défendre leurs acquis sans trop y parvenir et en laissant un grand nombre de victimes au bord de la route : les chômeurs, bientôt réduits à des indemnités faméliques et qui s’attendent, l’âge de la retraite venu, à une hypothétique ration de survie.
Les profiteurs de cette situation sont les dirigeants d’Entreprises qui se sont attribués des augmentations de revenus pharamineuses et leurs actionnaires qui les ont votées avec, pour contrepartie, le versement de dividendes leur permettant de vivre grassement sans avoir aucune activité professionnelle.
Il s’ensuit un déséquilibre de plus en plus prononcé entre les sommes monopolisées par les nantis, maîtres du jeu, et celles versées aux travailleurs ou à ceux qui sont exclus du travail.
C’est le fondement de la crise. On veut nous faire croire que, pour la résoudre, il faut diminuer encore le nombre des travailleurs et réduire leurs revenus. C’est ce qui s’appelle foncer dans le mur en klaxonnant…
On a fait des révolutions pour moins que ça !
On vous dit :
Son mari est très vigilant
Comprenez :
C’est un jaloux maladif.