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  • : Le blog de Jean-Pierre SILVESTRE
  • : Un regard décalé et humoristique sur les faits de Société. Des conclusions que vous ne trouverez nulle part ailleurs !
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  • J'ai 5 ans et je m'éclate au volant. Souriez !
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7 octobre 2013 1 07 /10 /octobre /2013 16:14

Entre les deux guerres mondiales, les Portugais avaient plébiscité Salazar et les Espagnols Franco.
Les Italiens divinisaient Mussolini et les Allemands Hitler.
Les peuples ont évolué mais avec les problèmes liés à « la crise » il ne faut pas exclure un retour aux errements du passé.
Non seulement dans les pays qui ont vécu l’expérience d’une longue dictature mais dans les autres aussi…

 

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20 septembre 2013 5 20 /09 /septembre /2013 17:47

Le gros problème de François Hollande : il est au charisme ce que Gérard Depardieu est à l’humanisme.
C’est l’huître et le vieux crabe...

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2 juin 2013 7 02 /06 /juin /2013 22:21

La richesse d’un pays peut s’évaluer en cumulant argent public et privé. C’est le produit de l’exploitation de ses ressources, de ses exportations, du tourisme…

Elle sert à payer les importations, les salaires, les pensions…

Mais dans un grand nombre de nations, elle est captée, presque totalement, par le dictateur, sa famille et leurs affidés.

Le peuple survit difficilement à la famine et aux maladies tandis que ses dirigeants mènent un train de vie fastueux.

L’un des buts de la démocratie était de mettre fin à ces pratiques. Objectif atteint après la seconde guerre mondiale. Les États qui y avaient participé devaient reconstruire, faire redémarrer leur industrie.

Tous les individus valides devaient participer à l’effort commun, il fallait donc les payer en conséquence. Ils pouvaient faire pression sur le patronat pour obtenir des augmentations et des avantages. C’étaient les trente glorieuses…

Aujourd’hui, les temps ont changé, les salariés ne se battent plus pour l’amélioration de leurs conditions de travail mais pour conserver leur emploi ; un combat souvent perdu d’avance…

Il existe deux sortes de citoyens : ceux qui subissent - la classe moyenne et les pauvres, d’une part - et ceux qui décident - les patrons, la fine fleur des cadres supérieurs, les détenteurs du capital, d’autre part -

Il serait puéril de demander à la seconde catégorie de réduire ses profits pour augmenter les indemnités de ceux qu’ils ont plongé dans le chômage en délocalisant leurs usines pour, justement, réduire leurs frais de personnel.

Après la crise, la crise mais en plus violent. Les nantis rêvent de transformer les démocraties en républiques bananières, ils sont en train d’y parvenir. Comme dans ces dernières, les riches sont de plus en plus riches et les pauvres de plus en plus pauvres. Deux exemples : le développement des industries du luxe qui embauchent à tour de bras pour satisfaire une demande à la croissance exponentielle, d’une part et celui des restaurants du cœur dont la clientèle ne cesse d’augmenter, d’autre part.

Pour mettre fin à ce processus, il faudrait que les décideurs, dont l’objectif commun est de s’en mettre plein les poches, deviennent subitement philanthropes et imitent les comportements de mère Teresa et de l’abbé Pierre. C’est très improbable.

La nature humaine est partout la même. Ce n’est pas parce que l’exploitation abusive de l’homme par l’homme est un peu plus difficile dans les pays démocratiques que dans les dictatures que ceux qui en ont l’opportunité y renonceraient pour préserver leurs semblables de la détresse. Ils ne s’en soucient en aucune façon…

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31 mai 2013 5 31 /05 /mai /2013 16:19

L’Europe est une excellente idée. Dommage ! Ceux qui ont pris son contrôle en développent surtout des mauvaises !

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23 mai 2013 4 23 /05 /mai /2013 15:59

« Encore un article sur le fascisme » allez-vous dire. C’est parce que je crois que c’est le plus grave danger qui nous menace ! Bien avant l’obscurantisme islamiste qui ne séduira jamais les foules occidentales mais qui est agité comme un épouvantail par ceux qui voudraient nous faire prendre Marine Le Pen comme un sauveur de l’humanité !

 

 

Officiellement disparu à l’issue de la seconde guerre mondiale, il a conservé ses nostalgiques et il séduit encore un peu partout dans le monde.

Mais il avance masqué. Il ne révèle pas ses objectifs réels.

Comment savoir si un mouvement politique est profondément fasciste ?

Si le parti au pouvoir et pour lequel vous aurez voté, abroge les lois réprimant le racisme, l’antisémitisme ou protégeant les minorités et en promulgue d’autres restreignant les libertés, vous aurez contribué au renouveau du fascisme d’État et il sera trop tard pour faire marche arrière, vous serez tombé dans le panneau et le retour à la démocratie sera pour plus tard, beaucoup plus tard...

 

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21 mai 2013 2 21 /05 /mai /2013 16:48

Il faut le chercher dans son passé mais en éliminant certaines de ses caractéristiques car, comme disait Georges  BIDAULT, "L'Histoire ne repasse pas les plats"

Plus jamais, un parti ne se revendiquera fasciste, le mot  ferait  trop peur à une majorité d'électeurs.

Les militants d'extrême droite feront campagne sur des sujets indolores.

A part, peut-être, un Le Pen (ancienne génération) nostalgique de l'occupation nazie "qui n'était pas si terrible que ça"  aucun responsable d'un mouvement extrémiste ne se risquera à justifier les crimes fascistes (c'est interdit par la loi) Il ne fera aucune référence aux persécutions antisémites ni à l'extermination des opposants politiques.

Il développera, plus subtilement, des théories populistes : l'insécurité (sous-entendu, liée à l'immigration) le nationalisme, la xénophobie, les "valeurs éternelles" proclamées par les intégristes religieux et autres thèmes susceptibles d'être plébiscités par une majorité d'électeurs qui y adhéreront de bonne foi sans se rendre compte de leur responsabilité dans la déchéance future de leur pays.

 

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20 mai 2013 1 20 /05 /mai /2013 14:03

« Les chômeurs peuvent trouver du travail. Il leur suffit d’accepter des tâches peu valorisantes, certes, et mal payées mais qui les dispensent de vivre aux crochets de la Société »

Des travaux comme ceux proposés (imposés?) à ces sans-papiers dans les couloirs du métro parisien ?

Des conditions si inhumaines que ces esclaves peu familiers des revendications les ont eux-mêmes filmées et diffusées en guise de protestation.

Mais pourquoi des chômeurs bien de chez nous n’ont-ils pas accepté ces emplois ?

Un exemple significatif du passage des idées humanistes des années 30 (le communisme dont on ne connaissait pas encore le dévoiement) au fascisme d’un Doriot, maire communiste de Saint-Denis (93) réélu triomphalement, sur un programme fasciste, par des électeurs jusque là profondément acquis à des opinions de gauche.

Et aujourd’hui ? C’est la même chose ! Les tenants du ‘’libéralisme’’ essaient de persuader ceux qui en sont les victimes que leurs malheurs viennent de ces feignants qui n’acceptent pas d’enrichir le grand capital en travaillant pour lui dans n’importe quelles conditions

C’est ce qui explique le succès (relatif heureusement) de l’extrême droite auprès des classes populaires.

Une relativité qui ne nous dispense pas de rester vigilants…

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23 avril 2013 2 23 /04 /avril /2013 17:20

C’était l’époque du plein emploi. Les ouvriers revendiquaient, sans crainte du licenciement ni du chômage. Ils demandaient plus de temps libre, de meilleures conditions de travail, des augmentations de salaire.

À force de luttes coûteuses, ils finissaient par obtenir satisfaction.

Ils rêvaient à une Société plus juste, plus équitable, débarrassée de ses prédateurs financiers, des exploiteurs du genre humain.

Un monde d’où la misère serait exclue et le bonheur accessible à tous.

Le communisme était la solution.

La plupart des intellectuels partageaient cet avis, inscrits au PC ou simples compagnons de route, comme, parmi les artistes, ceux qui ne consacraient pas tout leur temps à l’accroissement de leur fortune.

Les plus grands noms appuyaient ce projet qui ne deviendra jamais un combat :

Louis Aragon et Elsa Triolet ou Jacques Prévert, du côté des penseurs.

Juliette Gréco, Jacques Brel, Jean Ferrat, Gérard Philipe, Pablo Picasso, Yves Montand et Simone Signoret parmi les vedettes les plus connues.

Tous avaient tiré un profit financier de leurs talents. Ils étaient riches et n’avaient rien à attendre du communisme. Leur engagement politique était désintéressé, inspiré par des convictions profondément et exclusivement humanistes et un souci humanitaire.

C’était entre 1945 et 1956, l’année de l’invasion de Budapest par les chars soviétiques pour réprimer, dans le sang, la révolte des Hongrois qui ne demandaient que la liberté.

Qu’ils soient le fait de gens célèbres ou non, les soutiens au PC se firent de plus en plus rares. Ce parti politique n’apparaissant plus que comme une pâle copie de ceux qui, à l’évidence, tenaient les Européens de l’est en esclavage sauf si, comme sous toutes les dictatures, ils appartenaient à la caste privilégiée, en l’occurrence, les apparatchiks.

L’espoir en un monde meilleur, jamais régénéré par un nouvel idéal, s’éloignait de plus en plus.

Et aujourd’hui ? C’est le vide sidéral ! Nous pouvons chanter avec Johnny Hallyday :

« Noir c’est Noir

Il n’y a plus d’espoir… »

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11 avril 2013 4 11 /04 /avril /2013 17:05

Les idéologies sont faites pour séduire. Leur soi-disant application pour détruire.

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9 avril 2013 2 09 /04 /avril /2013 18:43

Tous les régimes politiques ont un objectif principal - jamais avoué - accroître les privilèges de la caste dominante.

C’est évident pour la monarchie, l’absolutisme, l’impérialisme ; indiscutable pour le nazisme, le fascisme, le franquisme, le communisme.

Seule la démocratie a semblé vouloir échapper à la règle… jusqu’à son intégration du capitalisme !

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