Pour finir la semaine, je reprends une réflexion sur le logement dont la première publication date du 17/12/2007. Rien de nouveau sous
le soleil ni sous la pluie, sinon que les abris précaires, des tentes en toile, dressés par une association humanitaire : "Les enfants de Don Quichotte" sont maintenant confisqués par la
flicaille - Quel beau métier ! - sur ordre du ministère de l'intérieur.
Pour notre gouvernement, la misère n'a rien de choquant du moment qu'elle reste discrète et ne pertube pas la quiétude des habitants des beaux quartiers. Si elle leur était révélée, ne voilà-t-il
pas des gens qui risqueraient de voter pour les gauchistes ? MDR...
J'ai laissé les quatre commentaires d'époque. Eux aussi sont toujours d'actualité.
Les journaux télévisés font une publicité maximale à la destruction de ces « barres » de centaines de logements construits dans les années soixante.
Ils ne correspondent plus aux critères actuels. Leurs occupants sont relogés dans de petits immeubles et même, parfois, dans des maisons individuelles.
Autre avantage non évoqué : la dispersion des délinquants - d’autant plus nombreux que la population est dense - afin qu’ils fassent moins peur à la police ?
Tout cela est très bien, mais n’y avait-il pas de mesures plus urgentes à prendre ?
Loger les sans-abri par exemple ?