QUELQUES MODELES D’ÉPOQUE
Quand les premières 2 chevaux sont sorties, elles étaient dépourvues de moteur d’essuie-glaces.
En cas de besoin, il fallait actionner ces derniers à l’aide d’une manivelle située sous le pare-brise.
Outre cet accessoire, le ‘’tableau de bord’’ ne comportait qu’un seul instrument : un compteur de vitesse de moto. C’est son câble qui a, très vite, servi à actionner aussi les essuie-glaces avec un fonctionnement peu convaincant…
Les premières 2 chevaux étaient équipées d’un moteur de 375 centimètres cube qui leur permettait de plafonner à 60 kilomètres à l’heure si le vent était favorable…
Les premières Volkswagen - on ne les appelait pas encore Coccinelles - importées en France en 1952, étaient pourvues d’une boîte de vitesses à 4 rapports non synchronisés. Rétrograder nécessitait l’apprentissage de la technique du ‘’double débrayage’’.
Le compteur de vitesse était le seul équipement du tableau de bord. Même pas une jauge à carburant. Quand le moteur commençait à tousser, il fallait actionner, avec le pied, un levier qui libérait une réserve de 5 litres d’essence.
On était loin de l’assistance électronique…
Après Mercedes en Allemagne, Peugeot a été le 2ème constructeur à équiper, en 1959, une voiture, la 403, d’un moteur diesel.
J’ai fait un voyage Paris- Pont-Audemer et retour à bord de l’un de ces véhicules.
À bord, il était inutile de chercher à converser avec son voisin.
Le vacarme du moteur était assourdissant…