Le Brésil a dépensé des milliards pour la construction des stades, hôtels, routes et autoroutes, équipements, jugés nécessaires à l’accueil des équipes participantes, à leur encadrement pléthorique et aux spectateurs.
Pourtant fanatiques de football, les Brésiliens sont indignés par ces folles dépenses alors que beaucoup d’entre eux vivent dans la misère et manquent cruellement de logements.
Une leçon pour les individus qui, dans le monde entier, consacrent la totalité de leur activité « intellectuelle » à la contemplation et à l’analyse des compétitions professionnelles de plus en plus corrompues par le fric.
Panem et circenses (Pain et jeux du cirque) comme on disait déjà dans la Rome antique..
Aujourd’hui, au Brésil, c’est un peu de pain et beaucoup de cirque quant à l’éducation, la santé et le logement, on verra ça plus tard s’il reste quelques réaux (monnaie brésilienne)