Les journaux et magazines qui vivent de la publicité (la quasi-totalité d’entre eux) ne sont pas crédibles quand ils publient des articles économiques.
Ils ne peuvent mettre en cause les marques qui leur achètent des espaces publicitaires, sous peine de perdre leur clientèle (le chantage est la règle) ni celles qui pourraient devenir clientes, donc aucune de celles présentes sur le marché national.
Avez-vous déjà vu des journalistes s’élever contre la malbouffe ou les boissons abusivement sucrées, par exemple ?
Dans nos pays capitalistes, les politiciens sont étroitement liés aux grands patrons. Le droit à la critique est donc très limité pour les gazetiers en général quels que soient les sujets abordés. La liberté de la presse est une illusion…