Dans un pays comme la France… ou la Belgique ou n’importe lequel des États de l’Europe occidentale, est-il normal que des gens crèvent de faim ?
Est-ce le rôle de simples citoyens de secourir ceux qui vivent dans le dénuement en finançant des associations philanthropiques comme, en France, les Restaurants du cœur ?
Deux théories s’affrontent :
1/ Ce sont les gouvernements qui doivent assurer le bien-être de tous leurs administrés, personne ne doit intervenir à leur place.
Ceux qui le font les déchargent de leurs responsabilités. C’est toujours des dépenses en moins à prélever sur le budget de la Nation
2/ Puisque les gouvernants ne font pas leur devoir, il faut bien se substituer à eux et subvenir aux besoins des pauvres.
Mais que se passerait-il si les possibilités des philanthropes étaient dépassées par l’affluence des nécessiteux ?
Nous risquons de bientôt le savoir, les progrès incessants des technologies n’enrayent pas le développement de la précarité, bien au contraire.
Le nombre des nantis connaît une croissance exponentielle, comme leur richesse.
Parallèlement, les démunis sont de plus en plus nombreux et de plus en plus pauvres. Il faut bien prendre l’argent quelque part !
Aucun gouvernement ne trouve quoi que ce soit à y redire…
Un petit espoir du côté de la Grèce et de l’Espagne ?