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  • : Le blog de Jean-Pierre SILVESTRE
  • : Un regard décalé et humoristique sur les faits de Société. Des conclusions que vous ne trouverez nulle part ailleurs !
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  • J'ai 5 ans et je m'éclate au volant. Souriez !
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26 octobre 2012 5 26 /10 /octobre /2012 13:46

Notre Société se compose de deux catégories d’humains : les individus respectables et les autres.

Dans la première on trouve ceux qui peuvent vivre confortablement du travail d’autrui : les chefs d’entreprises, leurs affidés et, surtout, les actionnaires qui, grâce à leur fric, peuvent mener une existence luxueuse sans rien faire.

Dans la seconde on trouve les délinquants qui ne sont plus seulement les contrevenants aux lois mais aussi les contestataires, les salariés grévistes « preneurs d’otages » les chômeurs « assistés » les SDF dont la présence pollue les trottoirs des beaux quartiers, les pauvres…

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commentaires

M
Merci pour ton dialogue J-P, j'ai écris que je cherchais les raisons de l'apparence visible des impassibles, tu m'en a donne une excellente.<br /> Je ne connais pas le statut CMU français, mais avec un peu de recherche, j'ai effectivement trouvé ce mensonge comme seuls les extrêmes peuvent colporter.
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A
<br /> Merci pour ta visite et, surtout, pour tes commentaires. Avec ceux de quelques autres lecteurs, ils me permettent de ne pas me sentir tel un prédicateur dans le désert... La CMU (Couverture Maladie<br /> Universelle) permet à tout individu présent sur le sol français, y compris les sans papiers, de bénéficier des soins nécessités par son état de santé et sans bourse délier si celle-ci est<br /> totalement plate... Une disposition qui défrise les fachos et autres conservateurs... du fric !<br /> <br /> <br />
L
En effet ! c'est monstrueux ... Et puis alors, les pauvres n'auraient pas le droit comme les autres d'être malades tranquillement ? Car, dans certains cas, une chambre seul s'impose,<br /> malheureusement et ce, que l'on soit pauvre ou riche !
Répondre
A
<br /> Et les pauvres, exclus de la Société, marginalisés, sont, beaucoup plus que les individus socialisés, sujets à de graves affections, liées à leur précarité. Mais pour les fascistes et apparentés,<br /> ne pas les soigner serait une bonne façon de s'en débarrasser...<br /> <br /> <br />
M
Je ne veux pas créer de polémiques, mais les faux malades et les profiteurs n'étant qu'une minorité, je ne pense pas qu'il faille les compter, avec tout le respect que je dois aux minorités.
Répondre
A
<br /> S'il y a des faux malades, ils relèvent quand même d'une pathologie d'ordre psychiatrique. Il y a beaucoup plus de vrais malades qui renoncent aux soins pour des raisons financières...<br /> <br /> <br />
L
Vous oubliez les faux malades, les allocataires récidivistes les tricheurs de la misère ...
Répondre
A
<br /> ...et les bénéficiaires du CMU qui d'après une pétition qui m'a été envoyée, bénéficieraient gratuitement d'une chambre individuelle dans les hopitaux. Il fallait signer pour s'élever contre ce<br /> statut imaginaire. Une provocation fasciste digne des pires heures de l'Allemagne nazie et de l'Italie mussolinienne...<br /> <br /> <br />
M
C'est très caricatural, mais proche de la vérité.<br /> Ce qui me fait le plus peur c'est une sous catégorie, incluse dans les 2 que tu cites, la sous-catégorie des impassibles, ceux qui ne bougent pas, ne pensent pas, ne réagissent pas, qui subissent<br /> les évènements, qui ne participent à rien, même pas une petite aide matérielle ou financière à un plus désœuvré.<br /> <br /> Ils n'ont aucun avis sur aucun sujet.<br /> <br /> Comme les "délinquants", ils sont de plus en plus nombreux, ils ont un boulot, un ticket de métro et un lieu pour le dodo et la télé pour les endormir.<br /> <br /> Je ne leur en veux pas, beaucoup d'entre nous en font partie ou en avons fait partie. Je cherche les raisons, car si on s'est habitué aux classes sociales, qui ont toujours existées, l'indifférence<br /> à la vie est je crois nouvelle.
Répondre
A
<br /> Je crois que la sous catégorie des impassibles a toujours existé mais elle était peu visible quand la Société fonctionnait à peu près correctement, quand le chômage était marginal, quand l'avenir<br /> était sécurisé, quand les perspectives professionnelles étaient médiocres pour la plupart des salariés mais risquaient peu d'être remises en cause...<br /> <br /> <br />