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  • : Le blog de Jean-Pierre SILVESTRE
  • : Un regard décalé et humoristique sur les faits de Société. Des conclusions que vous ne trouverez nulle part ailleurs !
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  • J'ai 5 ans et je m'éclate au volant. Souriez !
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20 février 2011 7 20 /02 /février /2011 23:20

Dans tous les pays, les individus sont de plus en plus nombreux à penser par eux-mêmes.

Ils refusent la dictature religieuse ou politique. Ils récusent les idées toutes faites.

C’est-ce qui explique la tendance à la disparition des vocations et la baisse régulière du nombre des fidèles assistant à la messe ou à l’office pour les religions.

C’est la raison de la difficulté, pour un politicien, d’obtenir et de conserver la confiance de ses électeurs et le rejet de plus en plus violent des tyrans et des apprentis dictateurs pour la politique.

Dans ce domaine, l’Europe a montré la voie. Même s’il existe quelques nostalgiques des dictatures fascistes - très en vogue dans les années trente - ces dernières ont durablement disparu. Il paraît impensable que l’extrême droite puisse devenir majoritaire dans un pays européen. Quoique…

Curieusement, il reste un domaine qui ne suscite pratiquement pas d’effort de réflexion dans la population : l‘Économie.

Depuis la disparition du Bloc soviétique - en fait des dictatures dissimulées - on lui a dit et répété que l’échec du communisme était la preuve de la pertinence du capitalisme. Hors du modèle américain, point de salut !

Dans notre pays comme, semble-t-il, dans toute l’Europe, l’extrême gauche, les anti-capitalistes ne font pas recette, ils sont marginalisés.

Tout le monde ou presque accepte cette énormité sans réfléchir : le capitalisme est l’avenir de l’homme. Ceux qui en profitent auraient tort de se gêner.

Ils brandissent l’étendard de la liberté : tout le monde peut faire fortune avec les moyens de son choix (en excluant le travail personnel, pas assez rentable). Ceux qui n’y réussissent pas

doivent végéter dans la précarité.

La classe moyenne, naguère majoritaire, voit ses effectifs fondre. Il y a ceux qui en sortent par le haut en devenant riches et ceux, beaucoup plus nombreux qui deviennent pauvres. Les possibilités d’emploi étant de plus en plus réduites, les chômeurs plongent rapidement dans le dénuement.

Il s’agit d’un anachronisme. Les peuples finiront par se rendre compte qu’ils sont manipulés. Il y aura une réaction en chaîne comme celle qui se produit actuellement contre les dictatures dans les pays arabes.

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18 janvier 2011 2 18 /01 /janvier /2011 18:08

La plupart des Sociétés humaines ont cherché à progresser dans tous les domaines pour pallier leurs difficultés.

Longtemps, les famines, dues aux intempéries, ont décimé (au sens moderne du terme) beaucoup de populations alors que, dans des régions voisines, les vivres étaient en abondance.

Les hommes ont inventé les chemins de fer, puis les véhicules automobiles, qui ont permis l’acheminement rapide des denrées depuis les provinces épargnées vers celles sinistrées.

Les grandes épidémies provoquaient la mort de plusieurs millions d’individus.

Les hommes ont inventé les vaccins, les antibiotiques et des maladies redoutables ont été éradiquées.

Les maisons en pierres de taille ou en briques étaient très longues à construire et nécessitaient le concours de nombreux ouvriers, celles en bois ne permettaient pas une grande élévation, elles étaient inadaptées aux villes.

Les hommes ont inventé le béton permettant de bâtir, avec peu de personnel, à un rythme inimaginable par nos ancêtres.

Le troc était compliqué. Celui qui était intéressé par un bien ou un service, n’avait pas forcément une proposition intéressante pour celui qui l’offrait.

Les hommes ont inventé la monnaie.

C’est à partir de là que tout a basculé.

De simple procédé pour rendre les échanges plus aisés, la monnaie est devenue un objectif.

Ceux qui assimilent les moyens de ’’faire du fric’’ deviennent de plus en plus exigeants.

Leur objectif : monopoliser l’essentiel de la monnaie en circulation, ne laisser que des miettes aux autres.

Il n’y a plus de problème pour transporter les aliments depuis les régions riches vers les pauvres mais si les habitants de ces dernières n’ont pas les moyens de les payer, ils peuvent crever de faim. On préfère détruire les récoltes plutôt que les offrir à ceux qui en ont besoin.

On a trouvé une thérapie contre le sida mais la plupart des Africains touchés par cette grave maladie peuvent continuer à en mourir puisqu’ils ne peuvent pas acheter les médicaments nécessaires et qui pourraient pourtant être produits en quantités suffisantes pour soigner les malades du monde entier.

Les techniques de construction permettraient de loger confortablement tous les habitants de l’Europe et des États-unis mais on préfère mettre dehors tous ceux qui n’ont plus les moyens de rembourser des prêts aux intérêts artificiellement gonflés ou qui ne peuvent payer des loyers surévalués.

Nous vivons dans une Société qui marche sur la tête mais pour ceux qui en tirent un maximum de profits, aux dépens de tous les autres, c’est, évidemment, la seule viable…

 

 

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10 janvier 2011 1 10 /01 /janvier /2011 19:39

Ma génération a rêvé d’une époque où l’homme serait libéré de ses contraintes.

Une époque où le progrès permettrait de remplacer l’effort par la mécanisation.

Une époque où le travail deviendrait moins astreignant.

Une époque où l’homme pourrait enfin disposer de beaucoup de temps libre pour le consacrer aux loisirs.

Le progrès a suivi son cours, la mécanisation est au rendez-vous, le travail est moins astreignant, le temps libre ne manque pas aux travailleurs mais c’est sa compensation qui fait défaut.

Aujourd’hui, les seuls bénéficiaires du progrès sont les détenteurs du capital. Des gens qui n’existaient pratiquement pas au début des années cinquante mais qui ont su monopoliser à leur seul profit tout le bénéfice des avancées technologiques.

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15 décembre 2010 3 15 /12 /décembre /2010 17:58

C’est une trouvaille des experts américains de l’exploitation de l’humanité grâce à une connaissance approfondie des règles du capitalisme.

C’est une théorie très simple, elle repose sur un constat évident : jusqu’à la ‘’crise’’, la main d’œuvre occidentale coûtait de plus en plus cher. Bien que, depuis, elle ait eu tendance à régresser et qu’elle n’ait jamais constitué l’élément le plus important dans les coûts de production, en réduire encore le montant permettrait d’accroître les profits.

Pour cela, un moyen très simple : réduire les droits de douane pour tendre vers leur suppression avec, pour prétexte, davantage de possibilités d’exporter.

Un leurre : les pays visés n’ayant pas les moyens d’acquérir les produits fabriqués chez les riches.

Une réalité : leur population offre des travailleurs à très bon marché ; des gens qui dès leur plus jeune âge sont prêts à travailler soixante-dix heures par semaine sans revendiquer sur leurs salaires ni sur les conditions sanitaires d’un emploi qui peut les envoyer à la mort par dizaines de milliers chaque année. ils acceptent toutes les conditions s’ils peuvent gagner juste de quoi survivre.

Un objectif : délocaliser tout ce qui peut l’être, les moyens de production, les services. Réduire au minimum tout ce qui ne peut l’être, les employés de commerce et surtout les fonctionnaires, ces individus payés avec les impôts des riches .

Un objectif à courte vue comme toutes les élucubrations des faiseurs de fric qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez.

Quand ils auront réussi à réduire au chômage les ¾ de la population active de notre pays, qui leur achètera ces denrées et produits qu’ils auront fait fabriquer par les crève-la-faim des pays émergents ?

Une politique qui les mènera tout droit à la faillite mais, quand ils s’en apercevront, il sera trop tard. Heureusement …

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6 décembre 2010 1 06 /12 /décembre /2010 04:40

Chaque année, en France, des usines ferment, des Entreprises ’’dégraissent’’.

Ce n’est pas pour réduire leur activité mais pour délocaliser leur production et leurs services dans des Paradis patronaux où l’exploitation de l’homme par l’homme est encouragée.

Mais le plus grand destructeur d’emplois , c’est l’État qui supprime, tous les ans, plusieurs dizaines de milliers de postes de fonctionnaires et qui va obliger les salariés à cotiser plus longtemps avant de prendre leur retraite.

Ça correspond à combien de millions d’emplois rendus inaccessibles aux jeunes deux ans de plus ?

Si l’on en croit les porte-parole officiels de notre gouvernement, le chômage est stabilisé.

Il est vrai qu’au Pôle emploi, les radiations, sous des prétextes divers, subissent, chaque année, une croissance à deux chiffres.

Le gouvernement voudrait nous persuader que le chômage va régresser ; c’est vraiment nous prendre pour des imbéciles…

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28 novembre 2010 7 28 /11 /novembre /2010 19:28

Un siècle durant, les travailleurs occidentaux ont lutté en manifestant et en acceptant les pertes de revenus liées aux grèves.

Ils ont ainsi obtenu l’accroissement de leurs salaires en rattrapage de l’inflation et même, à chaque fois, un léger supplément afin de prendre une petite part des profits accrus générés par les gains de productivité.

Grâce à leurs combats, ils ont gagné la possibilité de prendre une retraite indemnisée, d’abord à 65 puis à 60 ans.

Dans le même temps, leur lutte a fait passer la semaine de travail à 40 puis 35 heures .

Enfin, ils ont pu conquérir le droit à 3 semaines de congés payés qui sont passées, toujours grâce à leur combat, à 4 puis 5 semaines.

Toutes ces mesures, arrachées de haute lutte, ont permis de préserver l’équilibre entre l’offre et la demande d’emploi par l’ajustement des effectifs nécessaires au marché du travail.

Les travailleurs obtenaient la garantie du niveau des salaires par le plein emploi.

Mais la machine s’est enrayée, les salariés ont perdu leur combativité aux environs de l’année 1973. L’embourgeoisement ?

Ils ont laissé leurs exploiteurs reprendre la maîtrise totale des opérations.

La réduction des besoins en heures de travail ne s’est plus accompagnée de l’accroissement du temps libre, elle a donc débouché sur le chômage, la réduction des salaires - naguère illégale et impensable - le chantage à l’emploi, la suppression progressive des acquis sociaux, le démantèlement de la Sécurité Sociale, le report de l’âge de la retraite.

Une régression sociale sans précédent qui met fin à une progression qui semblait devoir s’accélérer grâce au développement de la science et de la technique…

Un accident de parcours ? Souhaitons qu’il soit le plus court possible pour les générations qui nous succèderont !

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24 novembre 2010 3 24 /11 /novembre /2010 06:12

Sarkozy et ses sbires nous prennent pour des imbéciles quand ils essaient de nous faire croire que cette soi-disant réforme des retraites est rendue nécessaire par un manque de financement dû à l’allongement de la durée de la vie.

Si l’on s’en tient à un aspect strictement financier, c’est, incontestablement, le chômage, la réduction des salaires et certaines mesures ’’sarkozystes’’ qui en sont responsables.

Les pensions des retraités sont financées par un prélèvement sur les salaires, les chômeurs et précaires n’y participent pas ou très peu.

Les Chinois qui ont remplacé les ouvriers français seraient bien en peine de verser leur contribution ; ils n’ont même pas les moyens de financer leur propre et hypothétique retraite.

Les Entreprises, chères au cœur de notre président, obtiennent des dérogations de charges quand, au lieu de verser un salaire normal, elles se contentent d’un SMIC.

Même chose pour les heures supplémentaires, elles aussi dispensées de charges.

Sarkozy n’a pas osé revenir sur la loi instituant les 35 heures mais il l’a abolie de fait.

Il incite les patrons à imposer des heures supplémentaires à leurs salariés en les défiscalisant, ce qui leur coûte beaucoup moins cher que s’ils devaient embaucher mais aboutit à une absence de revenu pour l’Etat tout en maintenant au chômage des jeunes qui, en devenant salariés, auraient apporté leur contribution.

C’est tout bénéfice pour les Entreprises qui au lieu de verser, comme par le passé, les sommes nécessaires au paiement des retraites, se contentent d’une contribution réduite et peuvent consacrer l’essentiel de leurs bénéfices aux salaires et avantages pharaoniques de leurs dirigeants, tout en versant 15% d’intérêt annuel à leurs actionnaires.

Vous ne savez pas comment on fait pour marcher sur la tête ? Demandez à Sarkozy ou aux membres de son gouvernement, ils vous expliqueront…

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22 novembre 2010 1 22 /11 /novembre /2010 17:05

Un dirigeant d’Entreprise peut être révoqué sans préavis ni indemnité ni droit au chômage.

En 1983, j’étais directeur gérant de Société et, ayant perdu mon emploi, je me suis retrouvé, du jour au lendemain, sans aucune ressource.

J’ai raconté cette mésaventure,sur ce blog, dans l’article « Mémoires d’un sondeur 3 ».

Depuis, les choses ont bien changé surtout pour les Pédégés des grosses boîtes.

Leurs actionnaires qui se contentaient de maigres dividendes sont devenus beaucoup plus gourmands.

Sous l’impulsion des fonds de pension américains, ils exigent un rendement de 15% par an pour leurs investissements.

Pour y parvenir, ils doivent nommer à la tête des Entreprises des dirigeants dévoués à leurs ordres et surtout pas des porte-parole des salariés !

Ces Patrons doivent donc se sentir solidaires des nantis qui les financent donc être, eux-mêmes, des privilégiés : salaires décuplés en l’espace de trois ou quatre ans, stock-options qui rapportent plusieurs centaines de milliers d’euros, chaque année, aux dirigeants du CAC 40, retraites chapeaux, parachutes dorés…

Les Pédégés n’ont plus aucun souci à se faire, même s’ils se font larguer, ils pourront couler des jours heureux, dans l’opulence, jusqu’à la fin de leurs jours.

La contrepartie : Pendant toute la durée de leur mandat, les « Patrons » doivent assurer à leurs actionnaires cette rentabilité de 15% par an

Les recettes : Économiser sur le coût des matières premières. Quand elles viennent d’Afrique, c’est facile, il suffit d’arroser les dictateurs qui n’en peuvent plus de crouler sous le pognon pendant que leurs administrés crèvent de faim. Il est toujours possible de réduire les salaires de famine des ouvriers africains.

Vendre plus cher ? Difficile à cause de la concurrence.

Le plus facile c’est de réduire les frais de personnel : délocaliser est le meilleur moyen ; les cadres indiens, les ouvriers chinois et marocains, les employés tunisiens sont prêts à travailler deux fois 35 heures par semaine pour un salaire dérisoire.

Reste le cas des emplois non ’’délocalisables’’. tous les moyens sont bons pour réduire leur coût, le chantage à l’emploi est le principal suivi par le harcèlement qui permet de conduire les vieux employés à se tuer à la tâche, au sens originel du terme. Une politique menée avec succès à France Télécom et qui lui a permis d’éliminer sans contrepartie financière des salaires élevés de fin de carrière. Quelques dizaines de suicides et un nombre beaucoup plus élevé mais non communiqué de démissions.

De substantielles économies, les « partants » pouvant être remplacés, s’il y a lieu, par des stagiaires non rémunérés ou, au pire, par des jeunes tellement satisfaits de trouver un emploi inespéré qu’ils se gardent bien de manifester la moindre exigence sur le montant de leur salaire et se contentent de l’aumône qu’on veut bien leur accorder.

En résumé, cette politique de réduction des coûts est une pleine réussite. Les actionnaires et leurs affidés, patrons d’Entreprises, font fortune…

Il y a juste un petit problème : ils bâtissent leur prospérité sur la ruine des classes moyennes, qu’arrivera-t-il quand ces dernières auront rejoint la catégorie des pauvres et qu’elles auront perdu la quasi-totalité de leur pouvoir d’achat ? Ce qui ne tardera pas.

Pour continuer à faire des affaires, il ne restera plus à ces prédateurs qu’à prospecter dans les exoplanètes pour le cas où il s’y serait développé un prolétariat friqué.

Ce n’est pas gagné…

 

 

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5 novembre 2010 5 05 /11 /novembre /2010 14:40

 

Avec les progrès technologiques, les besoins en main-d’œuvre sont de plus en plus réduits.

 Pour assurer la nourriture, la fourniture en biens de consommations, le logement, les soins de soixante-cinq millions de Français, il suffirait que chacun d’eux travaille dix ou quinze ans maximum (en comptant large).

Paradoxe ! Notre gouvernement relève l’âge de la retraite et oblige les actifs à travailler ou à chômer plus de quarante ans !

Mon explication : la masse monétaire. Celle-ci est à peu près fixe et doit être partagée entre tous les citoyens mais la répartition est loin d’être équitable !

Les travailleurs, les chômeurs, les retraités, n’ont aucune possibilité de peser sur le montant de leur rémunération.

Autrefois, les salariés se mettaient en grève pour obtenir des augmentations de salaire.

Aujourd’hui, compte tenu de la baisse des offres, c’est pour espérer le maintien de leurs revenus.

Ce sont les dirigeants d’entreprises (salaires multipliés par dix en l’espace de cinq ans) et les actionnaires (toujours plus gourmands) qui fixent les rémunérations de leurs employés.

Toute augmentation de ceux-ci aboutit à une baisse de leurs profits, elle est donc inopportune.

Tous ces gens, qui ont la maîtrise de l’économie, veulent gagner le maximum de fric.

C’est donc par la limitation des versements au vulgum pecus qu’ils peuvent y parvenir.

Pourtant, l’accroissement des revenus de cette population, de plus en plus abondante à être maintenue dans la précarité, lui permettrait de ‘’faire tourner l’économie’’ de donner du travail à d’autres précaires pour qu’ils leur construisent les maisons dont ils rêvent, d’acheter les biens de consommation qui leur font défaut. L’argent investi étant rapidement recyclé dans l’économie pour le plus grand bénéfice de tous.

Mais l’homme est ainsi fait que s’il est parvenu à obtenir des prérogatives, il s’y accroche et n’a plus qu’un seul objectif : les pérenniser et les accroître.

L’Histoire regorge de ces relations impliquant des exploiteurs que seule la violence a éliminés mais elle ne fait jamais état de privilégiés ayant renoncé spontanément et si peu que ce soit, à leurs avantages, ne serait-ce que pour sauvegarder une partie de leurs prébendes.

  Pour mettre  fin à cette situation ubuesque, il faudra une révolution mais, pour la déclencher, il ne faut pas compter sur les politiciens, même ceux qui affichent des convictions d’extrême gauche.

  Dans notre pays,les révoltes ont toujours été initiées par le peuple. C’est seulement après leur commencement qu’elles se sont trouvées des ‘’meneurs’’.

Malheureusement, le peuple est très long à réagir aux iniquités, voir 1789 ou, plus près de nous 1968...

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7 septembre 2010 2 07 /09 /septembre /2010 05:04

La messe est dite !

Ce sont les travailleurs et les chômeurs qui en feront les frais…

La riposte des socialistes a été particulièrement mollassonne :

‘’ Les salariés ne devraient pas être les seuls à être mis à contribution, il faudrait aussi faire participer le grand capital.‘’

Ils savent bien que, même s’ils remportent les élections de 2012, leurs ministres ne dirigeront pas la politique économique de la France.

Les décisionnaires seront toujours les Lagardère, Pinault, Bouygues et leurs copains milliardaires du CAC 40 ainsi que leurs homologues des ’’grands pays’’ européens en ce qui concerne les orientations de l’Union.

Tous ces gens étant peu enclins à taxer le grand capital dont ils sont les détenteurs…

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