Un regard décalé et humoristique sur les faits de Société.
Des conclusions que vous ne trouverez nulle part ailleurs.
Réflexions douces-amères
/image%2F0670450%2F20161104%2Fob_1b5321_blog-image.jpg)
/fdata%2F1296052%2F%2Favatar-user-305113-tmpphphQve9b.jpg){kind=avatar}
La poule au riz : avec le coq au vin, elle a engendré le poulet basquaise…
Un vieux monsieur m’a dit : « Avec ma femme, nous sommes âgés, à moins que je jette notre voiture contre un platane, nous risquons de disparaître l’un après l’autre. J’aimerais survivre encore quelques années à mon épouse »
Un parfait égoïste !
Dans la même situation, un autre vieux monsieur m’a dit : « J’espère que ma femme me survivra parce que ça serait pénible pour moi de rester seul »
N’est-ce pas une autre forme d’égoïsme ?
Chacun ramène la situation à lui-même. Aucun n’envisage le sort de « l’être aimé » s’il venait à se retrouver seul, ses tourments, ses angoisses.
Je crois que cela a déjà été dit mais l’homme le confirme tous les jours, il est foncièrement égoïste
Seuls les fous peuvent faire passer les autres avant eux-mêmes.
Le chihuahua : On l’appelle ainsi parce que, quand il défèque, il ne peut pas s’empêcher d’aboyer, Ouah ! Ouah !
Le rhino : C’est pas si rosse qu’on veut bien le dire !
Le chat : Il a domestiqué l’homme.(surtout la femme...)
La souris : Souvent, elle fait peur aux femmes mais pas aux hommes qui, parfois, s’y attachent
(article publié le 30 mai 2015, je le publie à nouveau en écho à celui de Richard Lejeune édité aujourd'hui sur "EgyptoMusée" Préambule à l'Egyptologie tchèque)
Tous les dictionnaires vous le confirmeront : Quel que soit son usage et le sens qu’on lui donne, espèce est un nom féminin.
Je suis souvent choqué par sa masculinisation. On entend : ‘’Un espèce de crétin’’ comme si une espèce de pré-accord devait exister entre ce mot et celui qu’il introduit !
Une espèce d’homosexualité grammaticale, en quelque sorte ! Puisqu’il retrouve son genre (féminin) si c’est aussi celui du mot qui lui succède. On dira : ‘’Une espèce d’andouille’’ par exemple. Ce qui ne définit pas un plat de charcuterie mais, bel et bien, un individu généralement de sexe masculin mais que les vicissitudes de l’existence ont affublé d’un sobriquet féminin; ce qui, en soit, n’est pas péjoratif, c’est la comparaison qui l’est.
La tortue : Elle est beaucoup plus rapide qu’on ne le croit, elle a battu un lièvre à la course !
Chez les animaux, elle est imperceptible. Ceux d’aujourd’hui nous paraissent identiques à ce qu’étaient leurs ancêtres.
C’est devenu une spécification de l’être humain.
Physiquement déjà, chaque génération est plus grande que celle qui l’a précédée.
Mais, surtout, mentalement, grâce à l’éducation, l’intelligence moyenne est de plus en plus développée même si de grands génies comme Léonard de Vinci ou Michel-Ange demeurent inégalables.
Il existe bien certains mouvements qui prônent le retour à un obscurantisme pré médiéval mais ce ne sont que péripéties, manœuvres dilatoires sans avenir.
Rien n’empêchera l’homme de poursuivre sa progression.
Le loup : Il attaque les troupeaux mais respecte les hommes. Il sait qu’ils sont encore plus méchants que lui.
