31 août 2014
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17:24
Nous vivons dans un système économique où l’homme est un accessoire, un faire-valoir du fric.
Si vous rêvez d’une société où c’est le fric qui serait l’accessoire, un simple moyen de faciliter les échanges de compétence entre les hommes, ne le dites surtout pas !
On vous prendrait pour un utopiste particulièrement farfelu !
30 août 2014
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J’aime les enfants bien élevés donc je n’aime pas les enfants ! (ceux d’aujourd’hui)
29 août 2014
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17:26
Chez les intégristes de toutes obédiences, les hommes sont les maîtres, les femmes doivent leur obéir et même leur être soumises.
C’est seulement dans les Sociétés les plus évoluées qu’on trouve des hommes, encore en petit nombre, qui ne considèrent pas la force physique, individuelle ou collective, comme caractéristique dominante et pour qui la valeur intrinsèque de chaque individu doit être prééminente, sans considération de son sexe, sa race, son ethnie ou sa réussite sociale.
29 août 2014
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17:04
Quand on vit avec son temps, il est logique de ne pas suivre ceux qui cherchent à anticiper, de ne pas les écouter ni les entendre.
28 août 2014
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17:22
Les gens qui suivent les préceptes de leur directeur de conscience n'imaginent pas qu'on puisse avoir une réflexion personnelle, une pensée originale.
Pour eux ceux dont les idées sortent de la norme sont sous influence !
27 août 2014
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17:00
A moins d'avoir un savoir encyclopédique, des connaissances universelles et de se tenir informé de toutes les parutions, ce qui est humainement impossible, on court le risque, en tentant d'enfoncer des portes, que d'autres les aient déjà ouvertes.
Absalon
26 août 2014
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16:54
Quand on a des ambitions littéraires, la sagesse commande de ne pas compter sur d'autres lecteurs que quelques amis complaisants.
Ca permet d'éviter les désillusions.
Mais la sagesse est rarement écoutée; derrière chaque auteur ou presque, se cache un génie qui a pondu l’œuvre du siècle.
25 août 2014
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Je propose un nouveau mot pour qualifier le temps que nous subissons en ce mois d’août : Elucinac, c’est canicule à l’envers…
24 août 2014
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15:07
Il est difficile de concevoir l'écriture comme un plaisir solitaire.
Écrire sans avoir la perspective d'être lu c'est comme soliloquer sans auditoire, comme prêcher dans le désert.
Mais ça permet de s'exempter de toute critique et ce peut être jubilatoire
Absalon
23 août 2014
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15:03
Même si on n’accepte pas les leçons infligées par la vie, elles finissent par exercer une influence sur notre comportement.